Parce que Schwarzy n’a jamais été là où on l’attendait.
1. Au-delà des muscles : et si Arnold était un mystique ?
Quand on pense à Arnold Schwarzenegger, on pense corps, muscles et force brute. Pourtant, si on gratte un peu sous la surface – et moi qui suis fan, je peux vous dire que j’ai gratté -, on découvre autre chose : une précision mentale, une vision inébranlable, et surtout une foi presque mystique en son avenir.
Arnold n’a jamais attendu qu’on lui donne la permission de rêver. Il s’est vu devenir champion de culturisme, star d’Hollywood, puis gouverneur. Et il l’a fait. Pas parce qu’il était le plus fort, ni forcément le meilleur pour le rôle. Mais parce qu’il avait déjà intégré la version de lui qui avait réussi.
« At the age of 20 I went to London and won the youngest Mr. Universe ever. And it was because I had a goal. So let me tell you something, visualizing a goal and going after it is fun. You have to have a purpose, no matter what, you have to have a purpose. »
― Arnold Schwarzenegger, lors de son discours motivationnel qui aurait laissé l’audience « speechless » (avec la petite musique qui va bien, et tout), en intégral ci-dessous.
Et si son plus grand muscle, c’était son troisième œil ?
2. “J’me voyais déjà” : la visualisation incarnée
Ce que beaucoup appellent aujourd’hui manifestation, Arnold le pratiquait déjà dans les années 1970.
Il ne récitait pas des affirmations devant un miroir, ni ne bricolait des tableaux de visualisation.
Mais for sure, il vivait chaque jour comme s’il était déjà celui qu’il voulait devenir.
Dans le documentaire culte Pumping Iron (1977), il explique :
“I was always visualizing myself being and having what it is I wanted.”
(in French : “Je me visualisais toujours en train d’être et d’avoir ce que je désirais.”)
Tout est là : il ne rêvait pas, il voyait.
Il ressentait l’image dans son corps, comme une scène réelle : le public, les projecteurs, le poids du trophée dans sa main.
Ce n’est pas une stratégie d’entrepreneur. C’est une connexion profonde à son imaginaire, à son futur déjà en action.
Et cette capacité-là, c’est ce qu’on appelle « l’énergie féminine » : réceptivité, ancrage, confiance dans le processus.
Il ne cherchait pas à forcer le réel : il répondait à une vision qui s’imposait à lui.
3. Routine, rituel, réceptivité : l’énergie féminine d’Arnold
Ce que beaucoup qualifient de “discipline militaire” chez Schwarzenegger est en réalité une stabilité intérieure ritualisée, bien plus intuitive qu’on ne le croit.
Loin d’un forçage mental, sa routine quotidienne est une manière de préparer le terrain énergétique pour laisser la vision germer.
Dans son autobiographie Total Recall: My Unbelievably True Life Story (2012), il raconte :
“I would get up at five in the morning and train before going to work or school.”
(« Je me levais à cinq heures du matin pour m’entraîner avant d’aller travailler ou à l’école. »)
Son réveil matinal n’était pas un exploit héroïque, mais un acte récurrent de disponibilité à soi-même.
Son alimentation, elle aussi, cadrée mais sans obsession, s’adaptait à ses objectifs du moment : construction musculaire, perte de masse grasse, entretien. Il en parle souvent dans ses interviews pour Men’s Health et Muscle & Fitness, mais aussi dans le documentaire Arnold (Netflix, 2023), où il évoque son plaisir à cuisiner simplement, à manger léger le soir, ou à savourer une pâtisserie autrichienne (ben oui, il a le droit) une fois ses objectifs atteints.
Le mouvement quotidien allait de soi : musculation bien sûr, mais aussi marche, vélo (qu’il pratique encore chaque jour à plus de 70 ans) et gestes simples d’entretien du corps.
“I always believed in training every single day. Even when I was filming or working in politics, I made time.”
(“J’ai toujours cru qu’il fallait s’entraîner tous les jours. Même quand je tournais ou que j’étais en politique, je trouvais le temps.”)
Mais ce qui rend sa routine énergétiquement fertile, ce n’est pas seulement sa rigueur : c’est la conscience qu’il mettait dans la répétition.
Chaque entraînement était une incarnation de la vision. Comme il le dit dans Pumping Iron (1977) :
“It’s like having an orgasm. Every time I pump, it’s like I’m coming.”
(célèbre réplique provocante, mais profondément révélatrice : l’entraînement était vécu dans le corps, avec intensité et présence.)
Il ne répétait pas mécaniquement. Il se reliait à son futur à chaque geste.
Dans Arnold, il raconte aussi comment la visualisation était constante, non comme une technique, mais comme une seconde nature :
“Every rep, every session, I knew exactly what it was building. I saw it, I felt it.”
(“Chaque répétition, chaque séance, je savais exactement ce que ça construisait. Je le voyais, je le ressentais.”)
👉 En somme : pas de vision sans ancrage.
Chez lui, l’énergie féminine, ce n’est pas l’attente passive, mais la préparation intérieure, la constance, le soin du terreau.
Il ne forçait pas l’inspiration. Il aménageait l’espace pour qu’elle s’installe.
Comme le résume très bien Total Recall :
“I trusted the process, always.«
(A savoir : “J’ai toujours fait confiance au processus”, toujours)
4. Ne pas douter, ne pas forcer : manifester sans courir
Arnold ne “demandait” pas à la vie : il incarnait déjà ce qu’il voulait.
Il ne s’est pas battu pour percer à Hollywood.
Il n’a pas espéré devenir gouverneur de Californie.
Il a suivi sa vision, sans douter, comme si la réalité allait naturellement le rattraper.
Dans une interview accordée à Inc.com en 2017, il affirme :
“You have to have a vision and not listen to the naysayers.”
(“Il faut avoir une vision et ne pas écouter les détracteurs.”)
C’est limpide : tu restes sur ta ligne. Et tu avances. (Allez, on se tutoie, à ce stade.)
Tu ne cherches pas à convaincre, ni à forcer les choses.
Tu agis comme si c’était déjà fait, et tu laisses venir ce que tu sais déjà vrai en toi.
Et si manifester, ce n’était ni espérer ni vouloir ?
Et si c’était ne pas quitter cette vibration intérieure, la maintenir stable jusqu’à ce qu’elle germe dans la matière ?
5. Ce que ça change pour vous : manifester comme un visionnaire
Arnold Schwarzenegger, c’est peut-être l’un des plus beaux modèles d’intégration des polarités :
- une vision féminine, intuitive et inspirée ;
- et une action masculine, cadrée et répétée.
Il n’a pas « réussi » par ambition. Il a fusionné sa vision et son incarnation.
Et ça, c’est exactement ce qu’on fait avec The YOU Code.
On ne manifeste pas par magie, mais : on encode la vision, on stabilise l’énergie, et on devient l’espace où le futur peut advenir.
6. Quand Arnold devient coach : Be Useful, ou l’art de transformer sa vision en force utile
Dans Be Useful: Seven Tools for Life (2023), Arnold Schwarzenegger ne se contente pas de raconter son parcours hors norme. Il propose une véritable boîte à outils pour transformer une vision personnelle en contribution concrète au monde. Loin de l’ego-trip, ce livre se lit comme un condensé de ses multiples vies – bodybuilder, acteur, homme politique, philanthrope – mises au service d’un message clair : la discipline, la clarté d’intention et l’action incarnée peuvent TOUT changer.
Sept principes pour manifester une vie alignée
L’ouvrage s’articule autour de sept principes simples et pragmatiques, nourris par son expérience personnelle :
- Ayez une vision claire (Have a Clear Vision)
- Ne pensez jamais petit (Never Think Small)
- Travaillez dur, sans chercher de raccourci (Work Your Ass Off)
- Vendez, vendez, vendez (Sell, Sell, Sell)
- Passez la vitesse supérieure (Shift Gears)
- Fermez-la et ouvrez votre esprit (Shut Your Mouth, Open Your Mind)
- Brisez le miroir (Break Your Mirrors)
Chaque principe est illustré par des anecdotes concrètes, parfois inattendues, qui ancrent le propos dans une réalité vécue. Schwarzy revient par exemple sur ses premiers castings ratés à Hollywood, ou sur son engagement politique post-gouvernorat, pour démontrer que la réussite n’est jamais linéaire, mais toujours narrative : elle se construit, se réécrit et se réinvente en permanence.
Un guide utile, loin d’une énième recette miracle
La critique salue la cohérence du message. Pour le site BurnTheFatBlog, le livre est “une autobiographie mise au format self-help”, destinée à ceux qui veulent concrétiser leurs intentions sans attendre l’alignement parfait des planètes.
Le Guardian, de son côté, souligne que le ton peut parfois sembler dogmatique, mais reste contrebalancé par une forme de bienveillance joyeuse et d’humour discret, typiques de l’ancien gouverneur de Californie.
Quant à SuperSummary, il retient avant tout l’axe central du livre : faire de sa vie un terrain fertile pour agir, bâtir et transmettre.
Un écho direct aux méthodes de transformation personnelle
Be Useful ne parle pas simplement d’ambition : il parle de narration intérieure. Il montre que la manifestation authentique ne repose ni sur le contrôle ni sur la croyance aveugle, mais sur une posture énergétique claire, répétée et incarnée. Préparer son terrain intérieur, stabiliser son énergie, suivre la ligne de sa vision sans forcer… C’est cette même logique qu’on retrouve dans les approches neurocentrées ou dans les nouvelles formes de développement personnel où le storytelling n’est plus cosmétique, mais structurant.
Be Useful invite à cesser de contempler son reflet pour mieux passer à l’action. Il rappelle que l’utilité n’est pas une performance : c’est une manière de vivre pleinement aligné.
🙌🏻 Le livre sur le site de la Fnac (par exemple).
De la théorie à l’intégration : parlons “pratique”
Dans The YOU Code, on ne parle pas “loi de l’attraction”. On parle physiologie, neurosciences, narration et régulation.
- Wave 1 (Reset) : protocole d’autorégulation, nutrition stable, routine d’énergie cohérente.
- Wave 2 (Déconstruction) : neutraliser les récits hérités, faire taire l’autosaboteur.
- Wave 3 (Mise en scène) : intention scénarisée, plan d’action narratif.
On stabilise l’espace intérieur. Ce qui veut dire : incarner pour manifester. C’est-à-dire : rendre concret.
👉 Sur le sujet, consultez également notre article : “Le concept de “manifestation” : planter, nourrir, lâcher – Pas fantasmer depuis son canapé”
Et ce n’est pas un hasard si ma méthode est issue de l’École 5.3, où j’ai été formée à la pleine santé via les 5 facteurs du vivant (nutrition, respiration, détox, pensée, émotion).
👉 J’en parle dans cet article, toujours : “Autorégulation émotionnelle : une énergie stable pour faire germer vos intentions”
✨ Manifestez votre vie rêvée – mais pas “delulu” – avec The YOU Code
Manifestez avec stabilité, précision et incarnation, sans vous leurrer ni vous raconter des bobards à la mode, avec ma méthode de remise en forme énergétique et narrative.
Vous êtes déjà celui ou celle qui sait. And that’s cool, my dear.
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