Refus de l’appel et autosabotage – Qui êtes-vous pour NE PAS le faire ?

Et si l’arrogance, c’était de se croire inutile ?

🎬 Introduction – Ce n’est pas de l’orgueil, c’est de la clarté

“Qui suis-je pour croire que je peux le faire ?”

Vous l’avez peut-être déjà pensé. Ou entendu autour de vous.
Comme si exprimer pleinement qui vous êtes ou ce dont vous rêvez était une forme d’arrogance.
Comme si oser affirmer votre mission, votre vision, votre créativité… c’était prétentieux.

Mais si c’était l’inverse ?
Et si le vrai danger, c’était de ne RIEN faire ?
De rester dans l’ombre par peur d’éblouir ?

🌀 Dans le récit initiatique, ça s’appelle le refus de l’appel.
Et c’est exactement ce que nous allons explorer ici.
Non pas pour vous juger.
Mais pour activer en vous un switch narratif.


💥 I. Le refus de l’appel : une mécanique bien connue des scénaristes

Dans le Voyage du Héros, tel que formulé par Joseph Campbell et popularisé par Christopher Vogler, tout commence par un appel à l’aventure.

Un événement, une voix, une intuition qui murmure : “Tu es fait·e pour plus.”
Mais souvent, le héros… refuse.
Il a peur. Il se croit trop petit. Trop faible. Trop “normal”.


🎥 Quelques exemples cultes, où le héros doute avant d’oser :

🧙‍♂️ Harry Potter (Harry Potter à l’école des sorciers)
Quand Hagrid lui annonce qu’il est un sorcier, Harry répond d’abord qu’il ne peut pas en être un — il n’a jamais rien accompli de spécial, il n’a jamais été valorisé. Il doute profondément de sa légitimité. Son refus est moins un “non” explicite qu’un refus intérieur d’y croire : “Moi ? Un sorcier ? Il doit y avoir erreur.”

💍 Frodon (Le Seigneur des Anneaux)
Lorsque Gandalf lui confie l’Anneau, Frodon accepte… mais il est terrorisé. Et quand il comprend l’ampleur de la mission, il répète : Je ne peux pas faire ça.” Il se perçoit comme trop petit, trop ordinaire, pour changer le destin du monde. Le refus de l’appel est ici un repli par humilité (et par peur).

🌊 Moana (Vaiana)
Elle ressent depuis toujours un lien avec l’océan, mais elle résiste à cet appel pour honorer les traditions et les attentes familiales. Elle essaie d’être la cheffe parfaite, de faire ce qu’on attend d’elle, jusqu’à ce que la mer elle-même la rappelle à sa mission. Le conflit entre désir intérieur et loyauté familiale illustre parfaitement le refus de l’appel.

💊 Neo (Matrix)
Neo passe son temps à chercher une vérité… mais quand elle le trouve, il hésite. Il fuit la police. Il rejette l’idée d’être l’Élu, malgré les signes, les tests, les sacrifices des autres. Il doute, il refuse, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus nier qui il est. Son chemin incarne le refus par peur de la responsabilité que cela implique.


💡 Ces exemples montrent que le refus de l’appel n’est pas une faiblesse : c’est une étape.
Une phase de tension intérieure… juste avant l’envol narratif.

Car spoiler alert :
🎯 Si le refus a lieu au début du film, c’est pour une raison simple :
ce n’est que l’incident déclencheur de votre intrigue.
Et vous allez devoir accepter l’appel pour que le film commence


🧠 II. “Qui suis-je pour faire ça ?” – Et si on inversait la question ?

Et si la bonne question n’était pas “Qui suis-je pour faire ça…”
Mais :

🌀 « Qui suis-je pour NE PAS le faire ? »

Ben oui, qui êtes-vous pour vous saboter, vous rétrécir, vous retenir…
alors que vous portez quelque chose de précieux ?

👉 L’alignement, ce n’est pas l’absence de doute.
C’est la décision de ne plus le laisser diriger.
Refuser votre appel, c’est refuser un rôle que personne d’autre ne peut jouer.
Et dans le récit collectif, ça s’appelle un trou narratif.


🔥 III. L’humilité toxique : quand la peur se déguise en modestie

“Je ne veux pas prendre trop de place.”
“Je préfère rester discret·e.”
“Je ne suis pas un·e expert·e.”

🎭 Derrière ces phrases, il y a parfois une vraie humilité.
Mais souvent, il y a surtout de la peur.
Celle de briller. D’échouer. Ou pire : de réussir.

💡 Et si cette modestie de façade était en réalité un masque ?
Un moyen d’éviter de confronter votre potentiel ?

👉 Ce n’est pas prétentieux de vouloir accomplir ce qui vous appelle.
C’est courageux.
Et profondément utile.


🧬 IV. Wave 2 – Recode : réaligner votre narration intérieure

La Wave 2 de The YOU Code est dédiée à cette étape cruciale. 

🎯 Réécrire votre histoire à partir d’une identité clarifiée, stable et puissante.
Ce qui passe par :

  • Le shadow work (pour voir les peurs et croyances en jeu)
  • Le tarot narratif (pour capter la dynamique de votre récit de manière symbolique – on ne lit pas l’avenir ici)
  • Le repositionnement identitaire (pour arrêter de rejouer des rôles hérités)

Vous n’êtes pas là pour plaire.
Vous êtes là pour contribuer.
Et votre clarté, votre vérité, votre puissance… sont les meilleurs leviers pour ça.


🪞Exercice narratif – Accepter l’appel

  1. Notez une chose que vous rêveriez de faire.
  2. Listez toutes les raisons pour lesquelles vous pensez ne pas pouvoir le faire.
  3. En face de chaque ligne, écrivez :
    Et qui suis-je pour NE PAS le faire ?
  4. Relisez. Laissez infuser. Et commencez à répondre à l’appel… même par un micro-acte.

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